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FLASH FLASH...LE GOUVERNEMENT IVOIRIEN INTERDIT LA MUSIK CONGOLAISE SUR LEUR SOL...... BOLOBI NINI PONA DECISION NA BANGO???


FLASH FLASH...LE GOUVERNEMENT IVOIRIEN INTERDIT LA MUSIK CONGOLAISE SUR LEUR SOL...... BOLOBI NINI PONA DECISION NA BANGO???
ils n savent pas la musique et ns musiciens snt tres populaires laba voila pkw ils ont dcide ainsi m ils doivnt aussi interdire linternet dans leur pays c serait mieuxEntre les musiciens congolais de la république démocratique du Congo et les congolais de la diaspora, c’est le désamour complet. Les raisons. Les politiciens congolais, depuis le temps de Patrice Lumumba, se sont toujours servis des musiciens pour asseoir leur politique ou faire passer leurs messages. Mêmes les colonisateurs belges l’ont compris en invitant l’orchestre African Jazz de Kabasele-Kalle afin d’agrémenter les soirées des travaux de la conférence de Bruxelles dite ‘’table ronde’’ en Janvier 1960, qui aboutit à l’indépendance du congo-belge, qui deviendra plus tard la République démocratique du Congo. La mythique chanson ‘’Indépendance Tcha-Tcha’’ en est la parfaite illustration. L’assassinat en janvier 1961 de Lumumba change le cours des choses. Le climat social et politique seront plus délétères avec l’arrivée au pouvoir du général Mobutu. Kabasele-Kallé, membre du gouvernement éphémère de Lumumba, chargé aux informations fut ‘’banni’’ par les nouvelles autorités malgré son prestige de père de la musique congolaise moderne. Wendo Kolosoy, l’autre icône de la musique, très proche de Lumumba, subira le même sort. Luambo Franco, auteur d’un pamphlet satirique contre le nouvel homme fort du pays eut la vie sauve qu’en s’exilant de l’autre côté du fleuve Congo (Congo Brazzaville) ; payant ainsi le prix de leur engagement politique et patriotique en s’insurgeant contre la dictature qui s’installait dans le pays. Désormais, les musiciens congolais avaient le choix entre l’exile, le silence ou la compromission. C’est dans ce dernier registre que s’inscrit Luambo Franco qui regagne Kinshasa pour se faire le chantre attitré du Mobutisme jusqu’à sa mort en 1989. Quant á Kabasele Kallé, il choisira la vie de l’exil et le silence. Il mourra presque dans l’anonymat. Wendo Kolosoy, un lumumbiste convaincu, sera quant à lui réhabilité des années après à l’arrivée au pouvoir de Joseph Désiré Kabila en 1997.
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